La cave aux poupées / Magali COLLET

Le 19
Janvier
2021
par Isabelle
Huis clos glaçant, atmosphère oppressante, scènes souvent insoutenables
vous voici prévenus !
Je ne suis pas du tout adepte de ce genre de roman, je lai ouvert un peu par hasard et puis je ne lai pas lâché.
Au fin fond dune forêt, la maison de lhorreur. Là vit Manon, une jeune femme analphabète qui na connu que les coups, les humiliations et les corvées infligés par son tortionnaire de père. A peine se souvient-elle de la douceur et de la tendresse de sa mère, morte depuis très longtemps et dont elle garde un souvenir diffus, comme une petite lumière qui la laisse en équilibre sur le fil de la monstruosité.
Car le monstre, cest son père, un être abject, malade de cruauté, pédophile, violent et bien sûr meurtrier qui kidnappe de très jeunes filles pour les enfermer dans sa cave et sen servir de jouet.
Manon est là pour soccuper de lintendance de la maison et des filles.
Et puis un jour, Camille arrive
Malgré lhorreur de cette histoire, lauteure ma tenue sous sa plume du début à la fin. La psychologie de Manon (la narratrice) est intéressante, cest un personnage complexe, complice malgré elle car détruite et manipulée depuis trop longtemps par un être pervers.
Impossible déchapper à cette cave et paradoxalement, impossible darrêter sa lecture (Un mystère pour moi !)
« Préparer le repas, même le petit déjeuner, était quelque chose qui me calmait et me donnait du bonheur. Et le bonheur, fallait le prendre dès qu'on le voyait pointer le bout de son nez parce qu'il restait jamais assez longtemps pour qu'on puisse le mettre en boite, pour sûr. »
Je ne suis pas du tout adepte de ce genre de roman, je lai ouvert un peu par hasard et puis je ne lai pas lâché.
Au fin fond dune forêt, la maison de lhorreur. Là vit Manon, une jeune femme analphabète qui na connu que les coups, les humiliations et les corvées infligés par son tortionnaire de père. A peine se souvient-elle de la douceur et de la tendresse de sa mère, morte depuis très longtemps et dont elle garde un souvenir diffus, comme une petite lumière qui la laisse en équilibre sur le fil de la monstruosité.
Car le monstre, cest son père, un être abject, malade de cruauté, pédophile, violent et bien sûr meurtrier qui kidnappe de très jeunes filles pour les enfermer dans sa cave et sen servir de jouet.
Manon est là pour soccuper de lintendance de la maison et des filles.
Et puis un jour, Camille arrive
Malgré lhorreur de cette histoire, lauteure ma tenue sous sa plume du début à la fin. La psychologie de Manon (la narratrice) est intéressante, cest un personnage complexe, complice malgré elle car détruite et manipulée depuis trop longtemps par un être pervers.
Impossible déchapper à cette cave et paradoxalement, impossible darrêter sa lecture (Un mystère pour moi !)
« Préparer le repas, même le petit déjeuner, était quelque chose qui me calmait et me donnait du bonheur. Et le bonheur, fallait le prendre dès qu'on le voyait pointer le bout de son nez parce qu'il restait jamais assez longtemps pour qu'on puisse le mettre en boite, pour sûr. »