La bouse / Philippe Jalbert
Le 04
Mai
2021
par Isabelle
Ah la la ! Quelle poilade !
Philippe Jalbert est ce que j’appelle un incontournable dans la littérature jeunesse. Il détourne, s’amuse, surprend et ne prend résolument pas ses jeunes lecteurs pour des mous du genou. Bref, accrochez-vous bandes de parents, vous allez rigoler autant que vos rejetons (et vous cultiver en plus, si si, c’est possible !)
Dans cette histoire, l’hiver est rude, très très rude et un coq un tantinet prétentieux décide justement, là, tout de suite, de prendre son envol. Il fait fi des conseils avisés des 3 poulettes du poulailler qui lui conseillent d’attendre des jours meilleurs.
Mâle alpha dans son harem, Monsieur sait ce qu’il veut, il s’envolera vers des cieux plus cléments maintenant, là, tout de suite épicétout.
Et sploch… froid la neige… et re-sploch… brrrr…
L’auteur nous offre une histoire désopilante, servie par des illustrations colorée avec dominante de bleu et de blanc (c’est l’hiver et il fait froid), le genre d’histoire qui vous fait sourire à chaque page (les poulettes en cagoules et doudounes, je ne m’en suis toujours pas remise !) et une fin sous forme de morale qui m’a franchement réjouie.
Et vous savez quoi ? Cette morale est directement tirée d’une lettre que Jack Beauregard adresse à Personne dans le western Mon nom est personne. Quand je vous dis qu’on apprend des choses ! Truc de dingue.
Bref, toutes les cases sont cochées, j’adore et j’ai hâte de le raconter celui-là !
Et vous Monsieur Jalbert : bravo, ça s’appelle le talent, continuez encore et encore et si l’envie vous prend, venez donc découvrir le Limousin et notre belle et grande « Faites des livres » et tous ces mômes qui seraient ravis de vous rencontrer. (Les bibliothécaires et les instites, j’en parle ? )
Philippe Jalbert est ce que j’appelle un incontournable dans la littérature jeunesse. Il détourne, s’amuse, surprend et ne prend résolument pas ses jeunes lecteurs pour des mous du genou. Bref, accrochez-vous bandes de parents, vous allez rigoler autant que vos rejetons (et vous cultiver en plus, si si, c’est possible !)
Dans cette histoire, l’hiver est rude, très très rude et un coq un tantinet prétentieux décide justement, là, tout de suite, de prendre son envol. Il fait fi des conseils avisés des 3 poulettes du poulailler qui lui conseillent d’attendre des jours meilleurs.
Mâle alpha dans son harem, Monsieur sait ce qu’il veut, il s’envolera vers des cieux plus cléments maintenant, là, tout de suite épicétout.
Et sploch… froid la neige… et re-sploch… brrrr…
L’auteur nous offre une histoire désopilante, servie par des illustrations colorée avec dominante de bleu et de blanc (c’est l’hiver et il fait froid), le genre d’histoire qui vous fait sourire à chaque page (les poulettes en cagoules et doudounes, je ne m’en suis toujours pas remise !) et une fin sous forme de morale qui m’a franchement réjouie.
Et vous savez quoi ? Cette morale est directement tirée d’une lettre que Jack Beauregard adresse à Personne dans le western Mon nom est personne. Quand je vous dis qu’on apprend des choses ! Truc de dingue.
Bref, toutes les cases sont cochées, j’adore et j’ai hâte de le raconter celui-là !
Et vous Monsieur Jalbert : bravo, ça s’appelle le talent, continuez encore et encore et si l’envie vous prend, venez donc découvrir le Limousin et notre belle et grande « Faites des livres » et tous ces mômes qui seraient ravis de vous rencontrer. (Les bibliothécaires et les instites, j’en parle ? )
